Le jour où les lions mangeront de la salade verte

L homme est un lion pour l homme... Et les lions ne s embarrassent pas de délicatesse. Sûrs de leur bon droit, ils imposent leurs vues sans conscience de leur égocentrisme et de leur appétit excessif pour les rapports de force. Ces lions, nous les croisons tous les jours : automobiliste enragé, conjoint gentiment dénigrant, chef imbu de pouvoir, mère intransigeante qui sait mieux que nous ce qui est bon pour nous... C est ce que Romane appelle la « burnerie » ! 
Trentenaire passionnée et engagée, Romane a créé pour aider ces félins mal embouchés une société qui leur propose des sessions de relooking intégral de posture et de mentalité. Dans son nouveau groupe, elle a de très beaux cas. Surtout un : Maximilien Vogue, célèbre homme d'affaire, PDG d'un grand groupe de cosmétique, charismatique en diable, mais horripilant spécimen de « burné » égotique. Saura-t-elle le conduire à faire évoluer ses comportements pour l'amener à révéler autrement sa puissance intérieure avec plus de justesse et de respect pour les autres? Une chose est certaine : elle va avoir du fil à retordre...

Livre qui peut être intéressant pour l'analyse du comportement humain . Des travers qui peuvent se révéler dans tous les milieux : travail, familial ... Des personnes qui s'imposent sûrs de leur droit malgré ce qu'elles générent . Un bel échantillon compose le groupe . Nous avons la mère étouffant son fils par son amour inconditionnel allant jusqu’à diriger sa vie, la jeune femme reportant toutes les discussions à son propre compte, l’homme divorcé qui dévalorise sa femme, le PDG imbu de sa personne.

Au fil des ateliers , Romane propose des techniques et exercices qui permettent de faire passer des messages ou à les répéter pour certains . 

Côté romance , la fin est cousue de fil blanc et n'apporte rien de plus à l'histoire . 

Les termes de burneries , sup de burn , etc , sont irritants .

Un livre lu rapidement !

Comments

[Florinette]

Je passe, j'avais lu son précédent que j'avais trouvé sympathique, mais sans plus... Beau dimanche ma chère Arlette, je t'embrasse !