Un monde meilleur
Une nouvelle année scolaire commence pour Trevor McKinney, un garçon de douze ans, une année qui ne ressemblera à aucune autre et changera peut-être la vie de milliers d'hommes. Le jour de la rentrée, Trevor reçoit de la part de son professeur Eugene Simonet un sujet de devoir pour le moins inhabituel : trouver une solution pour rendre le monde meilleur et la mettre en pratique. Plus mûr, plus sensible que ses camarades, Trevor prend très au sérieux ce devoir. Il suggère d'aider de façon désintéressée trois personnes qui deviendront ses obligées, et chacune d'entre elles devra passer le relais à trois inconnus qui en feront de même à leur tour. On ne peut pas changer le monde à douze ans, mais on peut tenter de redonner espoir à son entourage : une mère déboussolée, un professeur solitaire et un SDF sont des cobayes de rêve pour un garçon inventif, généreux, en manque d'affection.
« J’ai permis à ma mère de se réconcilier avec ma grand-mère, c’était très courageurx de sa part. Mais j’ai remarqué que les gens avaient trop peur que les choses changent… Mais en fait, le monde n’est pas tout à fait « dégueulasse »!
Cela doit être dur pour certaines personnes habituées aux choses comme elles sont… même si elles sont moches… Alors elles abandonnent… alors là, tout le monde perd quelque chose!
C’est dur… on ne peut pas prévoir… mais il faut beaucoup observer les gens… presque les espionner pour les protéger car ils ne savent pas toujours ce qu’il leur faut.
C’est une bonne occasion de réparer autre chose que sa bécane. Disons que l’on répare quelqu’un…
C’est un peu mon vœu pour l’avenir ». Trevor
La fin du film est bouleversante et malgré cela un espoir naît en chacun . Une lumière qui ne cesse de se transmettre. Le monde pourra devenir meilleur .